

Je ne laisse pas les étourneaux s’installer sur le grand chêne de mon jardin… Je prends deux couvercles de casserole et je joue des cymbales pour faire fuir ces bandes d’oiseaux effrontés qui, si non, laissent leur fiente sur le tronc de mon arbre, ce que je ne veux pas. Un petit bois, pas loin, fait leur bonheur… ou alors ma fanfare est pire que leur cri strident pas mélodieux du tout car ils s’envolent vite !
Quand ils se déplacent par nuées de milliers d’oiseaux, en parfaite symbiose, on appelle ce phénomène des « murmurations ». Joli mot, non ?